Le directeur général de la franchise de Columbus, Jarmo Kekalainen a fait part de son agacement concernant les rumeurs incessantes concernant Patrik Laine.
Pour The Athletic il a tenu a remettre de l’ordre et couper court à toutes ces rumeurs :
« Ouais, ça me dérange parce que les gens inventent de la merde, c’est ce qui me dérange », a déclaré Kekalainen, selon Pierre LeBrun de The Athletic. « Je comprends que parfois, à partir de conversations que vous avez (avec des équipes), certaines d’entre elles peuvent fuiter et un nom y figure, mais ce n’est pas un cas comme ça. C’est juste quelqu’un qui fait de la merde à partir de sa propre spéculation sur ce que nous pourrions le faire. Ils inventent et espèrent les gros titres et espèrent les clics. Je pense que c’est contraire à l’éthique. Et je n’ai pas le temps pour ça. »
Depuis son arrivée en Janvier 2021, les spéculations ont été nombreuses concernant l’avenir de Patrik Laine au sein des Blue Jackets. Il sera agent libre restreint à la fin de la saison après avoir signé un contrat d’un an et 7.75 millions de dollars l’été dernier.
Sa première saison n’était clairement pas à la hauteur de son talent. Depuis, c’est une autre histoire le concernant. Avec 20 buts et 18 passes en 35 matchs, Patrik Laine s’affirme comme le joueur majeur de la franchise. Il a montré tout son talent lors du dernier match face aux Devils :
Kekalainen n’est pas non plus pressé de prolonger Patrik Laine compte tenu de son statut d’agent libre restreint :
« Quand le moment sera venu, nous allons nous asseoir et examiner toutes les options ensemble et voir si nous pouvons trouver une solution pour qu’il reste avec nous dans des termes qui conviennent aux deux parties mais aussi pour un montant qui conviennent aux deux parties également », a déclaré Kekalainen.
« Voyons s’il y a un pacte que nous pouvons sceller. Et sinon, vous savez, c’est le hockey. Je dis toujours que chaque joueur qui entre dans la période où il peut devenir agent libre (sans restriction), il peut le faire si ils le veulent. Et nous ne pouvons pas y faire grand-chose. »
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