ESPN a dévoilé ses votes pour le MVP, Rookie de l’année et Coach de l’année

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C’est la dernière semaine de WNBA et pour clôturer la saison régulière, 3 reporters WNBA pour ESPN ont donné leurs votes pour la MVP, la Rookie de l’année, et la Coach de l’année.

Titre de MVP :

Les votes :

Kevin Pelton: A’ja Wilson, Las Vegas Aces
Alexa Philippou: A’ja Wilson, Las Vegas Aces
Michael Voepel: A’ja Wilson, Las Vegas Aces

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 Mandatory Credit: Lucas Peltier-USA TODAY Sports

Wilson sort d’une saison historique avec les Aces, la semaine dernière elle a notamment battu le record de points en une saison NBA détenu auparavant par Jewell Loyd’s (939 points la saison dernière).

A’ja Wilson a passé la barre symbolique des 1000 points dimanche dernier.

Scorer ne fait pas tout pour valider le titre de MVP, Wilson est tout autant précieuse en défense grâce à sa ténacité et son agressivité au rebond offensif comme défensif. Elle est surtout la leadeuse de l’équipe double championne en titre.

« Si Wilson ne jouait pas dans un autre monde, Napheesa Collier des Lynx du Minnesota aurait pu remporter le titre de MVP cet été et elle sera probablement deuxième au classement du MVP.

Les électeurs classant leurs cinq meilleurs candidats au titre de MVP sur les bulletins de vote, ne soyez pas surpris de voir des joueuses comme Breanna Stewart, Alyssa Thomas et la rookie Caitlin Clark terminer dans le top cinq » a déclaré Philippou.

Titre de Rookie of the Year :

Les votes :

Pelton: Caitlin Clark, Indiana Fever
Philippou: Caitlin Clark, Indiana Fever
Voepel: Caitlin Clark, Indiana Fever

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Crédit Photo : © Grace Smith/IndyStar / USA TODAY NETWORK

Caitlin Clark qui est arrivée dans la ligue avec toutes les caméras braquées sur elle n’a pas déçu.

Même mieux que ça, « CC » a réalisé l’une des meilleures saisons rookie de l’histoire de la WNBA.

Clark a inscrit une moyenne de 19,5 points, un record de la ligue cette saison 8,3 passes décisives, 5,7 rebonds et 1,3 interceptions.

Elle a établi un autre record de la WNBA celui du plus grand nombre de passes décisives (329) et a aidé le Fever à revenir en playoffs pour la première fois depuis 2016.

La saison de Clark est tous simplement historique et elle n’a pas fini de faire tomber des records dans cette ligue tout en menant Indiana vers les sommets de la ligue.

Est ce que tous ces arguments feront de Clark une rookie de l’année unanime ?

Rien n’est sûr après la très belle saison d’Angel Reese avec le Sky de Chicago mais CC devrait gagner cette récompense à la fin de la saison.

« Reese a eu une saison de haut niveau et aurait pu être le meilleur rookie dans d’autres années. Mais ce prix devrait être une victoire écrasante pour Clark » a affirmé Voepel.

Coach of the Year :

Les votes :

Pelton: Cheryl Reeve, Minnesota Lynx
Philippou: Cheryl Reeve, Minnesota Lynx
Voepel: Cheryl Reeve, Minnesota Lynx

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 Mandatory Credit: Kirby Lee-USA TODAY Sports

Les Lynx retrouvent les sommets de la WNBA après 2 saisons à – de 50% de victoires en régulière.

L’ajout de la meneuse Courtney Williams et de la pivot Alanna Smith dans le 5 de départ aurait pu perturbé le collectif des Lynx.

Le résultat est tout autre avec Reeve à sa tête, Minnesota a réalisé un départ canon 13 victoires/3défaites et a  remporté pendant ce run la WNBA Commissioner’s Cup.

Avant le break des JO, les Lynx avaient remporté que 4 de leurs dernières rencontres en l’absence de Collier.

Après la trêve olympique, Minnesota est sur une série de 12 victoires pour 1 défaite lors de leurs 13 derniers matchs dont une victoire de prestige face au New-York Liberty.

La saison régulière des Lynx est un succès presque inattendu quand on sait que l’équipe n’était même pas certaine de se qualifier pour les playoffs.

« Bien que Reeve ait été unanime parmi nous (les 3 insiders WNBA), Sandy Brondello mérite des votes après avoir mené New York au meilleur record de la WNBA, tandis que la dernière gagnante Stephanie White a de nouveau maintenu le Connecticut Sun en lice malgré les  gros changement pendant l’offseason.

Et Christie Sides mérite le crédit pour la façon dont les Fever se sont adaptés aux compétences uniques de Clark au cours de leur virage en saison, d’un départ de 1v-8d face à un calendrier brutal à un bilan à l’équilibre (dans le pire scénario) pour la première fois depuis 2016. »  a expliqué Pelton

 

 

Crédit Photo : Lucas Peltier-USA TODAY Sports

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