Il sera le héros de la soirée côté new-yorkais avec ce but en prolongation qui donne la victoire dans ce Game 7 pour les Rangers face aux Penguins. Artemi Panarin permet au Rangers d’aller défier Carolina en demi-finale de conférence.
« Quand le match est allé en prolongation, je me suis dit: ‘Je sais qu’il va marquer' », a déclaré l’entraîneur Gerard Gallant à propos du but de Panarin. « Effectivement, il fait un excellent jeu. »
Panarin est devenu le troisième joueur de l’histoire des Rangers à marquer en prolongation d’un match 7. Il rejoint Derek Stepan (2015) et Stéphane Matteau (1994) sur la liste.
« Honnêtement, ils me laissent tirer depuis le premier match », a déclaré Panarin. « C’est de ma faute, je n’ai pas vraiment tirer profit de ces opportunités. Mais peut-être que je devrais écouter les conseils de tout le monde et prendre ces tirs. »
Une résilience incroyable
Les Rangers sont une équipe à réaction cette saison et cette série n’a pas échappé à cela. Ils ont remporté un match après avoir été menés 27 fois tout au long de la saison. Sur cette série, ils étaient menés 3 à 1 et ont finalement remporté 3 matchs de suite. Ils ont absolument tout donné pour remporter cette série.
Et ce match 7 n’était pas si différent du reste que cela.
Les Rangers ont pris les devants, ont pris du retard sur un but qui a résisté à une révision des arbitres, ont égalisé, ont de nouveau pris du retard sur un autre but et ont finalement pu compter sur Mika ZIbanejad pour envoyer ce match en prolongation.
Et la prolongation est arrivée et Panarin a délivré tout un peuple. On imagine l’ambiance de folie à l’intérieur de la marmite que devait être le Madison Square Garden.
Se remettre vite
Le plus dur commence sans doute pour les Rangers qui devront récupérer de ce marathon en peu de temps avant de descendre à Raleigh pour affronter les Hurricanes.
Les rangers devront se tenir prêts pour affronter une équipe qui joue encore mieux au hockey que les Penguins. Les assauts vont se multiplier sur la cages de Shesterkin. Mais comme d’habitude, les Rangers plieront, seront menés mais ne s’avoueront sans doute jamais vaincu.
Il n’y a pas de plan de jeu défini. Juste de la résilience.
Commentaires