La transformation des New York Islanders sous Patrick Roy

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Dirigée par l’entraîneur Patrick Roy arrivé en milieu de saison, les Islanders ont subi une seconde jeunesse.

Cette résurgence a permi à la franchise se replacer dans la course aux séries éliminatoires.

Fin février, les Islanders se trouvaient dans une position précaire, loin d’une place en playoff. À la suite de défaites consécutives contre St. Louis et Tampa, l’équipe ne perdait pas seulement des matchs, mais aussi son emprise sur la saison. En réponse, Roy a mis en œuvre un changement radical, unissant ses trois meilleurs centres – Mathew Barzal, Brock Nelson et Bo Horvat – dans le but de débloquer le potentiel offensif de l’équipe.

Ce mouvement, non conventionnel compte tenu des rôles typiques de Barzal et Nelson, était un pari visant à raviver la puissance d’attaque des Islanders.

La stratégie de Roy était enracinée dans une philosophie simple : la confiance. Il croyait qu’en favorisant un style de jeu plus libéré, l’équipe pourrait redécouvrir sa forme.

« Je pense qu’ils ont juste besoin de jouer avec confiance, » remarquait Roy, soulignant l’aspect psychologique de son approche.

Les résultats ont été rapides et frappants.

Malgré une défaite contre Los Angeles, les Islanders ont entamé une série de six victoires, présentant une attaque puissante et un engagement renouvelé dans toutes les zones. Les lignes reformées, en particulier le trio Nelson-Horvat-Barzal, ont livré des performances exceptionnelles, surpassant les adversaires en part de tirs, buts attendus et buts réels.

Cette ligne, comparée à la ligne formidable de Kucherov-Stamkos-Point de Tampa, soulignait le génie stratégique des ajustements de Roy.

De plus, la résurgence n’était pas confinée à la première ligne.

La formation de nouvelles combinaisons de lignes à travers le tableau a revitalisé l’équipe. Anders Lee, J-G Pageau et Kyle Palmieri ont formé une deuxième ligne qui est devenue un cauchemar pour les adversaires, mélangeant physicalité avec efficacité au score. Même la quatrième ligne, souvent dans l’ombre, a contribué de manière significative, soulignant la profondeur et la polyvalence que Roy avait à sa disposition.

 

Credit Photo : Brad Penner-USA TODAY Sports

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