Alexandar Georgiev réagit avec cette victoire du Colorado

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Alexandar Georgiev
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Avec un Game 1 désastreux pour Alexandar Georgiev et l’Avalanche, une réaction était attendue à l’occasion du Game 2

C’est chose faite, soulagement pour l’Avalanche et surtout pour Alexandar Georgiev qui devait se racheter d’une performance vraiment mauvaise au cours du premier match. Rappelons qu’il a alloué 7 buts sur 23 tirs et a enregistré un pourcentage d’arrêt de 69,57%.

Une belle réaction représentée par 28 arrêts sur 30 tirs, avec donc un pourcentage de 93,33 %. Une réaction que tout le monde attendait, il remercie d’ailleurs ses coéquipiers de l’avoir soutenu dans cette période difficile.

« Ils m’ont tellement soutenu ces deux derniers jours », a déclaré Georgiev. « Le premier match a été très difficile, évidemment. J’ai senti que tout le monde me faisait confiance dans la salle. Je l’apprécie énormément. Cela m’a aidé à me ressaisir et je sais qu’ils me soutiennent. Je sais que je les aiderai aussi pendant les playoffs. C’était énorme de leur part. Je leur en suis reconnaissant.

La situation de Georgiev révélatrice de la difficulté d’être gardien, surtout durant les playoffs

Les gardiens de but sont différents. Lors des séries éliminatoires, ils peuvent faire la différence.

On dit souvent que si une équipe remporte la Coupe Stanley, c’est souvent parce qu’elle a un excellent gardien. Le légendaire gardien des Devils du New Jersey, Cory Schneider, nous dévoile son ressenti.

« Tout est amplifié pendant les séries éliminatoires », explique Schneider, âgé de 30 ans. « Chaque jeu, chaque erreur, chaque arrêt, chaque but, tout est amplifié.

« Le jeu de chacun s’intensifie », explique Schneider. « Évidemment, le gardien de but doit être meilleur. Son jeu doit s’améliorer. Mais vos coéquipiers autour de vous, eux aussi, améliorent leur jeu. La vitesse et l’intensité physique augmentent. Ainsi, lorsque vous vous améliorez, le jeu de votre équipe s’améliore également.

« Vous vous habituez à un rythme lorsqu’il s’agit de trouver des palets dans le trafic », explique Schneider. « Il y a des soirs où, quoi que vous fassiez, vous n’arrivez pas à trouver le palet. Vous êtes en haut, vous êtes en bas, vous bougez dans tous les sens et vous n’arrivez pas à le trouver. C’est une soirée difficile sur le plan physique.

Des situation difficiles à appréhender qui demande donc un gros travail psychologique en amont. Notre article sur Thatcher Demko en parle tout particulièrement.

Credit Photo : James Carey Lauder-USA TODAY Sports

 

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