Sean McVay, autrefois fervent partisan des journées de travail marathon, a changé de braquet.
“Je pensais que c’était cool de penser que l’on pouvait faire 18 heures,” a avoué McVay dans une interview avec Stephen Holder d’ESPN. “Vous savez ce que c’est? Ça s’appelle être un imbécile.”
La transformation de McVay, passant de bourreau de travail à défenseur du sommeil, met en lumière une évolution significative dans la philosophie du coaching.
Ce changement n’est pas isolé à McVay.
D’autres entraîneurs de la NFL ont commencé à reconnaître les effets néfastes du manque de sommeil sur la prise de décision et l’efficacité globale. Plusieurs entraîneurs ont informé Holder qu’ils avaient étudié les bienfaits du sommeil et qu’ils le priorisaient désormais, encourageant leurs assistants à faire de même.
Nick Sirianni abonde dans le sens de McVay :
« Si nous sommes dans une ligue où la parité est si serrée, nous ferions mieux de nous assurer que nous faisons tout ce que nous pouvons faire en tant qu’entraîneurs pour nous assurer que nos esprits sont clairs », a déclaré Nick Sirianni-
Malgré cette prise de conscience croissante, la transition n’est pas universelle. Certains entraîneurs restent attachés à la croyance que le temps passé à dormir est du temps perdu.
Credit Photo: Kirby Lee-USA TODAY Sports
Commentaires