Le temps presse plus fort que jamais concernant la prolongation du contrat du commissaire de la NFL, Roger Goodell.
Malgré plusieurs sources affirmant la conclusion éventuelle de l’accord, le fait demeure : l’accord n’est pas finalisé.
Les courants sous-jacents : dynamique du pouvoir et points de friction potentiels
L’énigme centrale semble simple. Roger Goodell souhaite rester jusqu’au printemps 2027 et les propriétaires de l’équipe sont favorables à cette décision. Mais le diable, comme on dit, se cache dans les détails.
« Cela va se faire », a déclaré une personne familière avec le point de vue des propriétaires à propos de la prolongation de Goodell. « Roger veut y être jusqu’au printemps 2027. »
Mark Maske du Washington Post dispose de sources qui rayonnent de confiance. Une source anonyme a même fait remarquer : « Vous savez simplement que cela va être fait et vous ne vous en souciez pas. » Cependant, la conviction exprimée dans ces propos ne masque pas l’incertitude qui prévaut, en particulier à l’approche de la réunion des actionnaires la semaine prochaine. Un délai qui, dans l’état actuel des choses, peut aller et venir sans prolongation signée.
Il est essentiel de comprendre les implications plus larges. Plus la prolongation de Goodell reste non signée, plus il accumule de levier. Les propriétaires de la NFL comprennent la proposition de valeur unique qu’il apporte, et l’incertitude d’un plan B viable complique encore les choses. Il semble que la balance des pouvoirs penche en faveur de Goodell, mais à quel prix ?
En avril dernier, le commissaire n’a pas hésité à aborder la situation précaire de son contrat. Sa volonté manifeste d’aller de l’avant, quelle que soit une prolongation, reflète un leader doté d’options et de conviction. Il a commenté :
« Si c’est possible, alors tant mieux. Sinon, j’ai vraiment eu de la chance d’occuper ce poste. »
Le retard de l’accord, bien que déroutant en apparence, laisse entrevoir des complexités plus profondes.
Credit: Kirby Lee-USA TODAY Sports
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