Les Miami Dolphins visent des étapes historiques : Tua et Hill mènent la charge
Alors que la deuxième semaine débute, les Dolphins de Miami se sont déjà positionnés comme une équipe à suivre.
Leurs 536 yards d’attaque contre les Chargers ont non seulement donné le ton de la saison, mais ont également inscrit leur nom dans le livre des records, marquant le plus grand nombre de yards d’attaque par une équipe lors d’un affrontement de la semaine 1 depuis les Ravens en 2019.
Mais ce n’est pas tout : les Dolphins sont désormais en passe d’entrer dans l’histoire de la NFL.
Lorsqu’ils affronteront les Patriots lors du Sunday Night Football de la semaine 2, Miami entrera dans un club exclusif. Seules trois équipes – New England (2011), San Francisco (1998) et Buffalo (1991) – ont réussi à atteindre un total de plus de 500 yards d’attaque lors de chacun des deux premiers matchs de leur saison.
Les Dolphins, sur leur lancée actuelle, pourraient bien devenir la quatrième équipe de ce type.
Brillance individuelle : Les aspirations de Tagovailoa et Hill à battre des records
Les résultats de l’équipe sont sous-tendus par deux performances individuelles remarquables. Tua Tagovailoa, avec ses 466 yards et ses trois touchdowns en semaine 1, a le potentiel pour entrer dans les annales de la NFL. S’il réussit 356 yards contre la Nouvelle-Angleterre, il entrera dans le top 5 des joueurs ayant passé le plus de yards lors des deux premiers matches d’une saison de NFL. Si l’on considère les noms illustres qui figurent sur cette liste, notamment Tom Brady et Cam Newton, ce n’est pas un mince exploit.
La cible préférée de Tagovailoa, le receveur Tyreek Hill, n’est pas en reste. Avec 11 prises pour 215 yards et deux touchdowns lors du premier match, Hill est lui aussi à la poursuite de l’histoire. Un autre 115 yards de réception en semaine 2 le placera parmi les cinq meilleurs joueurs pour le plus grand nombre de yards de réception lors des deux premiers matchs de leur équipe.
Ces deux vedettes des Dolphins ne se contentent pas de surfer sur les vagues d’une équipe performante, elles créent elles-mêmes des tsunamis.
Credit: Gary A. Vasquez-USA TODAY Sports
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