La défense des Raiders brille tandis que Love peine à s’exprimer dans la défaite des Packers
Le choc de lundi soir à l’Allegiant Stadium a été une intense démonstration de résilience, les Raiders de Las Vegas l’emportant de justesse sur les Packers de Green Bay avec une victoire de 17 à 13.
Le résultat a été influencé de manière significative par des jeux défensifs forts et des difficultés offensives notables.
La solide défense des Raiders : Le vrai meilleur joueur du match
Les Raiders, qui ont mis fin à une série de trois défaites consécutives, doivent une grande partie de leur succès à la défense. Si Jordan Love, le QB des Packers, a réussi à faire circuler le ballon, avec 182 yards, il a concédé trois interceptions, dont la dernière a scellé le sort du match pour Las Vegas.
Ce qui a rendu la défense des Raiders encore plus digne d’éloges, c’est peut-être le fait qu’elle ait été confrontée à l’adversité. Malgré l’absence de joueurs clés comme Jakorian Bennett et Nate Hobbs, la défense ne s’est pas contentée de faire face, elle a dominé.
Robert Spillane s’est distingué avec deux interceptions sur Love. Amik Robertson, le jeune cornerback, a prouvé sa valeur avec l’interception décisive.
Amik Robertson seals the @Raiders win with an end zone INT! #GBvsLV pic.twitter.com/btkOmDBwC8
— NFL (@NFL) October 10, 2023
Le coordinateur défensif Patrick Graham doit être félicité pour avoir orchestré une telle performance, en particulier dans des circonstances difficiles.
Les difficultés offensives de Green Bay se poursuivent
Les Packers, quant à eux, doivent se pencher sur leur approche offensive.
La soirée de Jordan Love a été mitigée, avec quelques lancers impressionnants, mais a été éclipsée par trois interceptions coûteuses. L’absence de la star Aaron Jones est palpable, car l’attaque n’a pas pu capitaliser même lorsque la défense des Raiders était sur le reculoir.
AJ Dillon, bien que prometteur dans le jeu de course, n’a pas pu reproduire la dynamique de jeu de Jones, en particulier dans le jeu de passe. Cette absence de double menace au poste de running back a limité les options de jeu des Packers.
Dans l’un des cas les plus révélateurs des difficultés de Green Bay, même lorsqu’une opportunité s’est présentée après le field goal manqué de Daniel Carlson en fin de match, l’attaque des Packers n’a pas pu capitaliser, soulignant la nécessité de changements et peut-être d’une refonte de leur stratégie offensive.
Les Packers tombent à 2-3 et concèdent donc une deuxième défaite de rang
Credit: Kirby Lee-USA TODAY Sports
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