Aaron Rodgers, le célèbre quarterback des New York Jets, apparaît comme un potentiel candidat à la vice-présidence sur le ticket présidentiel indépendant dirigé par Robert F. Kennedy Jr.
Cette révélation, rapportée par le New York Times, a déclenché un tourbillon de spéculation et d’intrigue au sein des communautés politique et sportive.
Aaron Rodgers, à 40 ans, n’est pas seulement un MVP à quatre reprises et champion du Super Bowl, mais également un fervent supporter de Robert F. Kennedy Jr. La considération de Rodgers pour le rôle de vice-président sous Kennedy, un ardent défenseur des questions environnementales et de santé publique, suggère un changement potentiel dans la dynamique de la candidature politique aux États-Unis.
La collaboration entre le duo, marquée par des conversations « assez continues » au cours du dernier mois, met en lumière une tendance croissante de candidats non traditionnels entrant dans l’arène politique aux États-Unis.
Équilibrer une carrière exigeante dans la NFL avec les rigueurs d’une campagne politique, surtout à un tel niveau, est sans précédent. Si d’aventure il était choisi par le candidat, les questions seront nombreuses à 8 mois de l’élection présidentielle.
De plus, l’enregistrement du nom de domaine kennedyrodgers.com signale une sérieuse considération de ce partenariat, brouillant davantage les lignes entre le côté sportif de Rodgers et une éventuelle carrière politique.
Cependant, ce mouvement soulève des questions sur la faisabilité d’une telle transition, étant donné le désir exprimé par Aaron Rodgers de continuer à jouer au football professionnel pendant « deux ou trois ou quatre ans de plus », avec un contrat lucratif avec les Jets jusqu’en 2025.
Credit Photo : Kyle Terada-USA TODAY Sports
Commentaires