Le numéro 1 de la draft est revenu auprès de The Undefeated sur son entrée dans la grande ligue, lui le numéro 1 de la dernière Draft NBA.
Les attentes et la pression qui entourent l’arrivée d’un jeune joueur dans la grande ligue en tant que numéro 1 de la draft sont sans doute inimaginable pour nous autres communs des mortels. L’arrivée dans une franchise comme celle de Detroit dans laquelle les attentes envers les joueurs de son calibre sont élevées, n’a pas été tout à fait celle que Cade Cunningham imaginait. L’acclimatation aux exigences de la NBA l’a peut-être empêché de s’exprimer plus naturellement, d’exprimer son talent.
« Au début, j’appuyais trop fort, essayant de m’acclimater. Mais maintenant je suis à l’aise. Je suis dans mon groove maintenant, donc tout va bien. Le moment décisif dont j’avais vraiment besoin était le match de Portland. Juste être capable de ressentir ce sentiment de tirer le ballon et de savoir que tous allaient entrer. Pendant la majeure partie de ce temps, une fois que je suis allé à l’université, j’avais une très bonne sensation sur le ballon. Mais, quand je suis arrivé aux Pistons pour la première fois et que je me suis blessé, cette sensation était différente pour moi. Après ce match de Portland, j’ai réussi à renverser quelques tirs, des choses comme ça. Ce fut le tournant. »
Il devait être le sauveur. Celui qui devait sortir la franchise de son marasme. Mais les blessures du début de saison n’ont vraiment pas aidé ni les Pistons ni Cade Cunningham a mettre le plan prévu en place.
Être meilleur défensivement
Cade Cunningham semble être exigent avec lui même, il souhaite progresser dans son jeu pour s’établir parmi les tous meilleurs de cette ligue. Le mois de janvier est souvent un mois délicat pour les rookies avec le fameux Rookie Wall. Cunningham veut profiter de cette nouvelle année pour s’améliorer sur et en dehors du terrain :
« Je me fixe des objectifs, c’est sûr. Tout le temps. Je ne les ai pas simplement définis comme une résolution pour le Nouvel An. Mais je me fixe de nouveaux objectifs tout au long de l’année et je leur donne des délais pour accomplir certaines des choses comme ça. Sur le terrain, je veux juste être meilleur défensivement et prendre soin du ballon. Ces deux choses vont beaucoup m’aider. Ensuite, en dehors du terrain, étant un meilleur coéquipier, un meilleur communicateur en ce qui concerne les textos et les appels, des trucs comme ça. Alors juste être le meilleur père que je puisse être, le meilleur frère, le meilleur fils. »
Être numéro ne promet pas de devenir le meilleur de sa génération et l’historie de la NBA nous le rappelle sans cesse, mais Cunningham fera tout ce qu’il faut pour faire son petit bout de chemin avec cette équipe de Detroit et au sein de la NBA.
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