Comprendre les règles de la luxury tax en NBA pour la saison prochaine
Dans le cadre de la gestion de la masse salariale en NBA, les règles de la luxury tax offrent des directives strictes pour les transactions impliquant les joueurs.
La luxury tax, divisé en deux seuils pour la saison prochaine, limitant les capacités des équipes à engager des dépenses excessives à travers les contrats des joueurs. C’est Bobby Marks, journaliste ESPN spécialisé dans la finance des équipes NBA qui en parle.
https://t.co/udxc31w9FX pic.twitter.com/2gcOTqijy7
— Bobby Marks (@BobbyMarks42) June 24, 2024
Premier palier de la luxury tax en NBA
En NBA, le premier seuil de la luxury tax fixe une limite salariale stricte de 178,7 millions de dollars, incluant les salaires et les bonus probables. Les équipes sont soumises à plusieurs restrictions sous cette règle. Elles ne peuvent pas acquérir un joueur via un accord de sign-and-trade, ne peuvent pas récupérer un contrat avec une somme supérieure dans un échange. De plus, elles ne peuvent pas signer un joueur qui a été libéré durant la saison régulière avec un salaire initial de plus de 12,9 millions de dollars. Le non-respect de ces règles entraîne une application stricte du cap salarial, limitant la flexibilité financière des équipes.
Second palier de la luxury tax en NBA
Le second seuil de la luxury tax lui, fixé à 189,5 millions de dollars, impose des contraintes similaires à celles du premier seuil, mais avec des limites légèrement plus élevées. Sous ce seuil, les équipes ne sont toujours pas autorisées à acquérir des joueurs via sign-and-trade. Mais la plus grosse sanction est qu’une violation de ces règles fige les choix de draft futurs, notamment le premier choix de 2032 si une équipe dépasse ce seuil durant la saison 2024-25, mettant en péril les implications à long terme de la gestion financière. Ces restrictions visent à maintenir l’équité compétitive tout en contrôlant les dépenses globales des équipes dans la ligue.
© Peter Casey-USA TODAY Sports
Commentaires