Pour ce troisième épisode de (la)PARENTHèSE nous allons nous plonger dans un texte charnière de l’œuvre de Paul Auster : (The Invention of Solitude). Dans ce texte, Paul Auster revient sur les semaines qui suivent la mort de son père Samuel. Cela va lui permettre de plonger en profondeur dans l’histoire de sa famille, dans sa relation compliquée avec un père qu’il qualifie d’homme invisible et en lui-même. Dans le second texte qui compose cet ouvrage, Paul Auster écrit à la troisième personne et plonge définitivement en lui-même alors qu’il vit dans la solitude. Ce texte-ci lui permet de présenter d’autres textes qui ont été importants pour lui en tant qu’auteur et en tant que personne.
La solitude est un thème central dans la littérature américaine. Avec des auteurs comme Henry David Thoreau qui se sont isolés dans les bois pour mieux vivre en osmose avec la nature. Ou encore Holden Caulfield dans (The Catcher in the Rye) de JD Salinger qui rêve d’aller s’isoler dans les bois. Mais ce n’est pas la quête de la solitude qui va nous intéresser aujourd’hui mais bien le baseball. Car comme nous l’avons expliqué dans cette introduction, Paul Auster en plongeant au plus profond de lui-même, ne pouvait pas le faire sans aller repêcher des souvenirs liés au baseball.
[restricted_content]
Cet article
est réservé aux
abonné(e)s
Abonnez-vous dès maintenant
Accédez en illimité à tous les articles et vivez une expérience de lecture inédite, contenus en avant-première, newsletters exclusives…
Commentaires